Dans son dernier ouvrage intitulé « L’Algérie des temps préhistoriques, un patrimoine méconnu », l’universitaire Ginette Aumassip, préhistorienne et spécialiste du monde maghrébin et saharien, propose un rappel de la richesse des vestiges, d’un temps où l’homme n’avait pas encore inventé l’écriture, et de la fragilité de cet immense patrimoine.
Publié aux éditions Anep, sous forme de beau-livre, l’ouvrage revient en 155 pages sur les traces des plus vielles présences humaines pour remonter le temps jusqu’aux cultures néolithiques d’Afrique du nord.