Dans son deuxième recueil de poésie, publié récemment sous l’intitulé « Puisque tu es la mer », Alima Abdhat partage avec ses lecteurs une ode à la vie livrée par « cet autre étranger en elle », dans les tourments de l’adversité.
Dans un recueil de 91 pages, paru aux éditions « Anep », l’auteure déploie dans un exercice douloureux, ses humeurs et errances animiques, fixant des moments de vie éphémères en « superposant l’homme à la mer », dans une psychologie abyssale brillamment menée dans la « polyphonie des mots » et une « musicalité poétique » hautement esthétique.